Contenu de la Newsletter
- Le mot du président
- Le règlement communal d’urbanisme
- Une double Commune, de nouvelles autorités
- Un centre sportif tout neuf
- L’élimination des arbustes et des buissons de la roselière
- Sortie d’automne de l’APC : Estavayer-le-Lac côté pile… ou face
- Quelques dates à retenir
- Invitation à se rencontrer
1. Le mot du président
Chers membres,
Une nouvelle fois, l’arrivée du printemps nous appelle dans ce magnifique endroit du sud-ouest de la rive du lac de Neuchâtel.
La hauteur moyenne de la ligne des hautes eaux nous a bien occupés l’année dernière. Pendant des années, nous avons pu nous contenter d’une activité réduite et tout à coup, comme surgie du néant, une menace est apparue, avec la modification du règlement d’urbanisme et du plan d’affectation des zones, qui touche tous les chalets du premier rang .Il semble qu’il s’agisse d’une mauvaise compréhension de certains paragraphes législatifs. Mais vous en apprendrez davantage dans l’article de Jürg Schweizer.
Un nouveau Conseil communal a été élu. Nous nous sommes fixé pour but, cette année, de nous rapprocher sur un plan personnel des nouveaux responsables et d’aborder les thèmes en suspens dans un climat favorable.
En automne dernier, nous avons fait une superbe balade au château d’Estavayer et à l’église romane de Font. Nous avons ainsi passé un excellent après-midi avec apéro et une très nombreuse participation. Ici encore, nous sommes redevables à Jürg Schweizer.
Notre prochaine rencontre de printemps approche. Réservez s’il vous plaît la fin d’après-midi du samedi 3 juin. Vous serez invités à inaugurer la saison autour d’un sympathique verre de l’amitié. Comme les années précédentes, cette année encore, ce sera une joyeuse occasion de se retrouver nombreux. Saisissez cette occasion d’être en contact avec le comité et les autres membres de l’APC.
Dix ans de présidence, ça suffit. Cet été, je me retirerai de cette fonction et à l’Assemblée générale du 22 juillet, je proposerai que Micheline Schenker me succède. Micheline m’a efficacement soutenu ces dernières années.
Je remercie tous les membres du comité pour leur soutien au cours de toutes ces années et tous les membres pour leur confiance.
Markus Grindat, Président
2. Le Règlement communal d‘urbanisme
Comme l’APC le faisait savoir par lettre à tous les riverains début 2016, le nouveau Plan de zones a été rendu public. La formulation de la distance à respecter pour le premier rang de chalets dans le Règlement de construction (RC, art.10) était problématique dans le sens que cette distance devait être de 24m à partir d’une rive fictive fixée au point 429,5m.s.m. Lequel point était situé à environ 12m de la limite sud de la roselière, au milieu des roseaux. Quelques propriétaires de chalets y ont fait opposition.
L’APC, quant à elle, constatait que la piste pour piétons et cyclistes depuis les Pointus jusqu’aux boîtes-aux-lettres, que l’APC avait en son temps recommandé, demande que la Commune avait enregistrée, ne figurait pas sur le Plan directeur, de même que l’accès au lac du milieu. De plus l’APC exigeait expressément que le troisième accès au lac, situé à la limite ouest de notre quartier et qui avait en son temps été supprimé, figure également sur le Plan directeur.
Le 11 juin, la Commune a invité l’APC et les opposants à une séance de conciliation. La Commune a adopté le point de vue selon lequel on ne pouvait faire opposition au Plan directeur. Seuls pouvaient être sujets à opposition le Plan de zones et le Règlement de construction. La discussion a achoppé sur ce point. En même temps, il apparut que l’art.10RC posait effectivement un problème car les propriétaires de chalets ne savaient pas exactement où se trouvait ce fameux point de référence. La Commune était d’avis qu’il fallait calculer ce point et que les propriétaires pourraient retirer leur opposition si leurs droits n’étaient pas atteints.
Au cours de la discussion, le conseiller communal Dietlin a communiqué que la Commission du Plan de zones avait écarté la piste cyclable en raison de son coût excessif, et que par ailleurs l’Association de la Grande-Cariçaie avait interdit l’utilisation de la bande herbeuse au long de la forêt, ce terrain étant partie intégrante de la forêt. Quant au troisième accès au lac, ce n’était pas l’affaire de la Commune car il se trouve sur le terrain Cantonal. Mais il fut quand même signalé qu’une intervention de l’APC ne se heurterait pas à une opposition de la Commune en ce qui concerne les autorités responsables.
Contrairement aux accords figurant dans le procès-verbal, la Commune a rejeté toutes les oppositions le 7 juillet, l’art.10 ne pouvant être modifié en raison de l’Ordonnance fédérale sur la protection des eaux et de la Loi Cantonale sur les eaux. En revanche le second paragraphe de l’art.10 a été supprimé.
Dans les faits, la Commune présentait une nouvelle version réduite de l’art.10 RC qui était en fait une nette aggravation. La distance qui devait être respectée pour les constructions du premier rang était de 24m. à partir d’un point qui était à présent à un demi-mètre plus haut, le fameux point de la limite moyenne des hautes eaux, à 430.05m.s.m. La zone interdite de construction atteignait ainsi les jardins des chalets du second rang y compris la route. L’APC a fait part à nouveau de cette aggravation à tous les propriétaires et une douzaine d’entre eux ont fait opposition. Le 6 septembre, la Commune a une nouvelle fois rejeté les oppositions, ce qui a contraint l’APC à faire recours devant le Canton. La raison du rejet des oppositions est que seule la suppression de l’alinéa 2 de l’art.10RC peut faire l’objet d’une opposition et non le reste de l’article qui reste inchangé, ce qui est une argumentation sujette à caution. Et que d’ailleurs, la loi Cantonale n’offre pas d’autre choix que cette distance à partir de la rive. En cela, la Commune se trompe car l’article en question de la Loi Cantonale sur les eaux (art.25) ne concerne que les cours d’eau et non les lacs. Le 30 septembre, l’APC a fait recours auprès du Canton. Pour simplifier les procédures, les recourants ont donné procuration à l’APC de représenter leurs intérêts auprès du Canton. Le recours a été présenté à la Direction de l’aménagement, de l’environnement et des constructions (DAEC), accompagné des procurations des recourants privés ainsi que de nombreuses annexes. Le Canton a demandé en novembre de recevoir toutes les oppositions, ce qui lui a été transmis en décembre.
Monsieur Jacques Maradan, responsable du domaine public des eaux du service Cantonal de l’aménagement et du territoire, avait à prendre position sur les recours au nom du DAEC. Le 13 janvier 2017, il a confirmé que l’art.25 de la Loi sur les eaux du Canton de Fribourg concernait les cours d’eau et non les lacs. L’Ordonnance fédérale sur la protection des eaux prévoit dans le meilleur des cas une distance de 15m + 4 ; or dans cette ordonnance, il n’est pas mention de ces 4m. La distance de la limite moyenne des hautes eaux sera fixée au plus tard fin 2018. Une distance de 20m est à observer de manière provisoire jusqu’à ce que la distance soit définitivement fixée. La Commune avait également à prendre position. Le 4 février, elle a communiqué que les habitants d’En Crevel devaient être conscients qu’ils se trouvent dans une zone inondable et dans une réserve nationale de protection de la nature. La pesée des intérêts devrait prendre en compte cette région extraordinaire. La Commune cite à ce propos l’ordonnance fédérale sur une augmentation de la distance à la rive en cas de risque d’inondation et sur l’intérêt supérieur de la protection de la nature et du paysage. Elle cite à nouveau l’article 25 de la Loi sur les eaux, qui concerne pourtant exclusivement les cours d’eau. Elle n’a visiblement pas saisi que cet article de loi concerne les objets concrets cités dans le titre et rien d’autre.
On est ainsi en attente d‘une décision du Canton. De toute manière, l’APC suivra très attentivement la fixation définitive de la rive, pour laquelle la Confédération développerait actuellement de nouvelles méthodes. La Commune aura à l’appliquer. Nous attendons de leur part qu’ils incluent dans ce processus les propriétaires du premier rang et qu’ils tiennent compte de manière appropriée de leurs intérêts légitimes.
Jürg Schweizer
3. Une double Commune, de nouvelles autorités
La Commune de Cheyres a donc fusionné avec la Commune de Châbles le 1er janvier 2017. La commune compte à présent 2180 habitants permanents (chiffres de décembre 2015), 1411 à Cheyres et 789 à Châbles. Le Conseil communal se compose de 7 membres, 4 représentants de Cheyres et 3 de Châbles. Il est présidé par Pierre-Yves Dietlin, syndic, qui était déjà conseiller communal à Cheyres. Le Conseil général est composé de 30 membres. Il comprend un bureau de 8 membres et 4 commissions (financière, aménagement du territoire et énergie, naturalisations, structures et rémunérations). Pour davantage de renseignements voir le nouveau site de la Commune : http://cheyres-chables.ch/fr/1/commune-de-cheyres-chables
Les deux sites sont occupés depuis le néolithique pour Cheyres, ainsi qu’en témoignent les stations lacustres découvertes, tandis que l’occupation du site de Châbles remonte à l’âge du Bronze comme en témoigne une nécropole (la plus grande de Suisse), mise à jour entre 1996 et 2000. (Wikipédia)
Mais les deux villages en tant que tels ont une histoire qui remonte au XIe siècle. A cette époque, deux familles puissantes se partageaient les rives du lac de Neuchâtel, celles d’Estavayer et celle de Grandson. Le château de Font, détruit en 1475, fut le premier château des seigneurs d’Estavayer. A cette époque, Châbles faisait partie de la seigneurie de Font. La première mention de la seigneurie comprenant Cheyres, Bollion et Seiry, issue d’un démembrement de celle de Font-La Molière, date de 1441. Cheyres fait partie alors de la seigneurie de la Molière puis à partir de 1536, du baillage d’Estavayer-le-Lac. Jusqu’en 1798, Châbles appartient au baillage de Font et de Vuissens. En 1801, on assiste à la dissolution de la grande commune de Font, Châbles et Châtillon. Sur le territoire de Châbles, on dénombrait au 19e siècle pas moins de 6 carrières, alors qu’à Cheyres, chaque vigneron avait son propre pressoir.
Il est à remarquer que 17 sociétés culturelles et sportives regroupent des habitants de Cheyres et de Châbles, ce qui témoigne de liens multiples et laisse augurer d’une bonne intégration et d’une bonne entente dans la gestion de la nouvelle Commune.
Micheline Schenker
4. Un centre sportif tout neuf
Ainsi, la buvette du FC Cheyres où nous avions coutume de tenir nos assemblées va être démolie pour faire place à un centre sportif tout neuf qui servira à l’ensemble des installations sportives, club de foot, skater hockey et tennis. Ce centre sera situé entre les différents terrains de sport, comme le montre l’esquisse ci-contre. La nouvelle construction comprendra cinq vestiaires équipés de douches, quatre WC, deux locaux pour les arbitres. Une buvette prolongée par une terrasse extérieure est également prévue. Le centre de tennis aura lui aussi droit à un lifting. La Commune de Cheyres, le 3 octobre dernier, a voté un crédit d’investissement de 2 millions et le projet est à présent en main du Canton.
Dans une lettre adressée à la Commune en novembre dernier, l’APC se félicite de ce projet mais fait part de ses préoccupations quant à l’augmentation du trafic que cela suppose : “La construction d’un tel centre sous-entend une intensification du programme des manifestions sportives, donc de la circulation. Le parking actuel étant non seulement maintenu mais augmenté de 28 places, il en découle que le trafic routier va notoirement augmenter dès l’ouverture du centre et que la période de construction va voir défiler les navettes des engins de chantier et des camions. “Or la route qui permet l’accès au site est, comme nous avons eu l’occasion de le rappeler à maintes reprises, une route étroite, dangereuse car empruntée par un nombre grandissant de piétons et de cyclistes. Aucune piste cyclable, aucun trottoir.
“Nous aimerions que la Commune ne néglige pas cette question. Il en va de la sécurité des utilisateurs du centre, de leurs supporters ainsi que de tous les usagers qui empruntent cette route. Il nous semble judicieux que la Commune mette sur pied un groupe de réflexion lié aux problèmes d’accessibilité au Centre sportif et nous serions heureux d’y participer.”
La Commune a répondu à nos préoccupations en ces termes : “Pour répondre à vos craintes, la Commune ne sous-estime pas les problèmes liés au trafic lors d’une construction, ni à la sécurité des usagers qui empruntent ce tronçon et au terme de l’enquête, le dossier sera transmis dans les différents services de l’Etat, qui donneront leurs préavis ainsi que leurs conditions.”
Il s’agira pour nous de rester vigilants pour que les accès à cette infrastructure bienvenue soient conçus dans l’intérêt aussi bien des sportifs et de leurs supporters que des habitants du quartier.
Micheline Schenker
5. L’élimination des arbustes et des buissons de la roselière
Les membres de l’APC les plus engagés et les plus enthousiastes de l’APC ont participé à plusieurs campagnes de débroussaillage de la roselière, la dernière fois en octobre 2012 (comme le temps passe !). Cet hiver, l’Association de la Grande-Cariçaie a effectué une grande opération d’arrachage des buissons devant le secteur En Crevel. Nous sommes ainsi débarrassés pour un certain temps de ces buissons qui gênaient beaucoup d’entre nous.
Jusqu’en 2014, les prairies marécageuses les moins humides étaient entretenues presque exclusivement par le fauchage réalisé par des exploitants agricoles ou une entreprise spécialisée. Le fauchage empêche la strate ligneuse, le bois, de submerger la strate herbeuse mais n’empêche pas la dissémination des buissons et ne permet pas de les éradiquer (le système racinaire des ligneux n’est pas détruit par cette technique). Jusqu’en 2014, lorsque des surfaces de marais étaient trop embroussaillées, un broyage était pratiqué pour éliminer les buissons. Cette technique permet de récupérer des surfaces de marais, mais elle a un fort impact sur le sol et la structure herbacée.
L’Association de la Grande-Cariçaie a donc testé en 2014 une nouvelle technique d’entretien, qui consiste à arracher mécaniquement les buissons et les arbustes au moyen d’une petite pelle rétro munie d’un grappin. Les premiers résultats, prometteurs, de cette technique ont conduit à l’introduire dès 2015 comme technique routinière d’entretien. L’arrachage vient donc compléter la palette d’outils à disposition du gestionnaire pour lutter contre l’embroussaillement. Les avantages de l’arrachage sont entre autres qu’il peut être appliqué, contrairement au broyage, sur des prairies à végétation herbacée sensible.
En 2015, environ 17 ha de prairies ont été entretenus par arrachage. L’accent a été mis sur les prairies les plus embroussaillées, où le fauchage n’était parfois plus possible en raison de la densité et du diamètre des buissons. Après l’opération d’arrachage, il est prévu que les parcelles soient à nouveau entretenues par fauchage dans les trois ou quatre ans qui suivent.
Données techniques Mikaël Cantin,
Association de la Grande-Cariçaie
«Emballage» Micheline Schenker
6. Estavayer-le-lac côté pile… ou face
La désormais traditionnelle sortie d’automne de l’APC a eu lieu le samedi 29 octobre 2016 et a réuni une vingtaine de personnes.
Présentée comme une balade culturelle au château d’Estavayer-le-lac et au hameau pittoresque de Font, elle a tenu ses promesses.
Mais le programme était ambitieux, un peu trop ambitieux. Ainsi avons-nous dû renoncer, malgré le temps clément et sec, à la partie sportive de l’excursion, à savoir la découverte du chemin pédestre qui relie Estavayer et Font par le haut.
La visite débuta au quartier des pêcheurs, un quartier entièrement gagné sur le lac lors de la première correction des eaux du Jura (1868-1878) qui provoqua la baisse du niveau du lac
(-2,70 m) et son retrait sur près de 500 m faisant émerger de nouvelles terres.
Au Moyen Age donc, tout le territoire de la basse ville était encore inondé offrant au Château d’Estavayer, le Château de Chenaux, magnifiquement situé au sommet d’une falaise, une protection supplémentaire. Le Château de Chenaux tire son nom des profonds fossés qui l’entouraient.
Après l’avoir observé de loin, nous avons rejoint le château par les escaliers dit les « égralets », un terme que vous ne trouverez pas dans le dictionnaire mais que tout le monde connaît à Estavayer comme étant l’escalier qui relie la ville basse avec la ville haute : 80 mètres de dénivellation et 105 marches !
L’histoire tout comme l’architecture du château sont complexes et se développent sur plusieurs siècles.
Notre guide et ami Jürg Schweizer nous en traça les grandes lignes avec enthousiasme et compétence. Nous avons ainsi vu défiler les Seigneurs Pierre et Guillaume d’Estavayer à qui l’on doit, à partir de 1290, une première construction assez sommaire, suivis de Humbert le Bâtard de Savoie qui, ayant racheté la seigneurie de Chenaux entreprit, en 1432, de rénover et d’agrandir le château. Ce qui n’était plus qu’une ruine devint une puissante forteresse dont l’accès était réglementé par un pont-levis actionné depuis la barbacane-châtelet, une étonnante bâtisse en briques rouges réalisées par des artisans piémontais. Mais l’histoire est cruelle. Ce château si bien défendu va rester vide car Humbert meurt en 1443 avant d’avoir pu terminer les aménagements intérieurs !
Grâce à la clé obtenue par Jürg, nous pénétrâmes dans des espaces réservés aux visiteurs de choix. Un petit frisson (était-ce le froid ou l’appréhension ?) parcourut le groupe, lorsque la lourde porte du donjon se referma derrière nous… et que nous nous trouvâmes devant le cachot.
Avant de quitter le château, qui abrite aujourd’hui les bureaux de la préfecture, nous visitâmes encore sa salle d’apparat qui date du milieu du XVIIIe. Avec ses vastes fenêtres donnant sur le lac, sa décoration de stuc rococo et sa voûte recouverte d’une grande peinture allégorique représentant Neptune et Amphitrite tenant un écu aux couleurs de Fribourg, elle se prête aux réceptions officielles et à la célébration des mariages.
Le bourg médiéval de Font, sa chapelle et… ses vignes!
Et quoi de mieux pour terminer un si bel après-midi qu’un doux mélange de nourritures spirituelles et terrestres : l’apéro fut servi près des vignes qui bordent la jolie chapelle romane de Font.
Merci Jürg et… à bientôt pour de nouvelles aventures.
Christine Détraz
Photos : Ueli Jaussi
7. Quelques dates à retenir
Séances de comité :
- le 3 juin, le 22 juillet et le 28 octobre 2017.
Vous pouvez transmettre vos questions et demandes 14 jours avant les séances en vous adressant à l’un des membres du comité ou à notre président.
Rencontre des membres de l’APC chez Christine Détraz, route de Crevel 139.
- le 3 juin 2017 vers 17 heures
Assemblée générale de l’APC à la Buvette du FC Cheyres, suivie d’un apéro
- le 22 juillet 2017, à 17 heures
Balade d’automne de l’APC
- le 28 octobre 2017 (but à déterminer
8. Invitation à se rencontrer
Le comité désire inviter tous les membres de l’Association à se rencontrer.
Der Vorstand möchte alle Mitglieder zu einem Zusammensein einladen:
Samedi 3 juin, dès 17 heures
Route de Crevel 139, chez Christine Détraz
L’important est de se rencontrer et de faire connaissance. Nous nous proposons tout simplement de nous retrouver pour boire un verre et bavarder. Mais on peut aussi imaginer des thèmes et des questions qui concernent le quartier.
Im Vordergrund steht dabei die Möglichkeit der „Begegnung und des Kennenlernes“ – dies gemütlich bei einem Umtrunk. Dabei können auch Themen und Anliegen, die das Quartier „en Crevel“ betreffen, angesprochen werden.